d'ailleurs, avec diverses formation fusion et en école de jazz moderne à l'époque (ARPEJ etc.), ns en avons repris presque tous les morceaux à une occasion ou une autre (ateliers d'orchestres et concerts fin d'année élèves avancés, concerts des profs, etc

seul reproche que je pourrais formuler : trop de line up successifs, un peu comme Zawinul, des fois ça se dilue trop et s'éparpille un peu (Steve Gadd notamment est trop sage, trop "varieto/je fais le job clean" sur ce genre de zique qui, faisant la part belle aux synthés et thèmes exposés, a vite tendance à l'être trop, clean)
Mais je suis d'un autre âge, et j'ai tjs aimé les groupes "groupes". On ne se refait pas, ou tjs incomplètement

Groupe fondé par Mike Mainieri ds les années 1980, s'est vite imposé en scène jazz rock fusion options rockisantes inspirées jazzitudes diverses, avec en star, outre mr Mainieri, le père Brecker, qu'on ne présente plus j'espère.
Évidemment, mettez un bassiste qui tient les cordes et un batteur technicien comme ces années surent en produire et vous avez un truc béton de chez béton.
Du nombre, et de façon non exhaustive, citons Michael Brecker, Eliane Elias, Victor Bailey, Warren Bernhardt, Rachel Z, Peter Erskine, Tony Levin, Darryl Jones, Eddie Gomez, Steve Smith, Steve Gadd, Bill Evans, Richard Bona etc. etc.

Je possède tous les albums (Steps Ahead, Magnetic, Modern Times etc.) et vinyles, que je connais par cœur, video etc., et ai mm pu prendre qques cours avec Peter Erskine, longtemps mon éminence grise.
J'écoute tjs avec autant d'émotion et de swing, mm si forcément ... forcément ! (D'ailleurs j'ai qques covers en cours

Avec Steve Smith (en gros, deuxième période du groupe), l'énorme thème, que dis-je le Kolossal thème : Beirut

early périod encore, où Victor Bailey (un bassiste que j'adore particulièrement

"SAFARI"
Avec Peter Erskine (line up original) le célébrissime duo avec du grand, du très grand Brecker (attention rockers 2&4 only s'abstenir

comme disait Dizzie (Gillespie) "to be or not to bop" :
Le tableau ne serait pas cool, sans mon morceau fétiche, j'ai nommé : OOPS

"l'original" studio
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Line up avec entre autre Rachel Z
à se mettre sur l'étagère, les jazzrockeux
pour meubler une soirée un bon ptit bout de concert mettant en scène le père Stern sur les rythmiques du grand Richard (Bona) et Steve Smith (qui m'était insupportable au début période Colaïuta, mais qui me devient indispensable ! bon le Smith je l'ui en ai tjs voulu d'un clinic ds une sombre banlieue nord où mon prof qui trouvait que je tricotais honorablement m'avait désigné cobaye sur scène... et où il ns a foutu la tête à l'envers qu'on cherchait tous notre cerveau après 5mn, avec ses systèmes de superpositions de décalages etc. raahh le cuistre
Lugano est un excellent festival, soit dit en passant (les concerts de Zawinul - mon autre passion - y furent dantesques - ah les fulgurances de Manolo Badrena/Paco Sery !)
pi alors, tiens, en passant bis, les Mark VI dé-vernis



raaahhhh ce son putain suave rauquacité qui vs remonte entre les joues du bas et dresse les poilduq
Impossible de se quitter autrement que sous l'originel, savoureux, terrible : POOLS
ENJOY
