Pour rappel, le principe de la free floating, c’est une structure / base, en alu, qui supporte le mécanisme de timbre, les cheminées pour tirants et accueille la peau de timbre. Là-dessus on pose un fût, libre et non percé dont seul un côté est chanfreiné, et puis on ferme avec la peau et le cercle de frappe.
J’ai donc limé malproprement un lit pour ce pauvre timbre, espérant réduite l’envahissement sonore du-dit (timbre.). Autant vous dire tout de suite qu’à ce niveau, ça n’a pas changé grand chose. Le machin vibre toujours autant par sympathie avec tout ce qui l’entoure.
