Paul Brousseau

[soft]

Un poitevin bien calibré, grand pote de Matthieu Metzger, chercheur transversal, clavier, bassiste-guitariste, batteur et surtout compositeur; en surfant de Sclavis à Metzger je suis tombé là dessus, qui n'est pas vraiment du plus mauvais;

et en plus c'est le fils d'un copain de lycée

Enjoy

[Capitaine Caverne]

Impressionnant de construction et de mise en place. J'écouterais pas ça toute la journée sous peine de finir la boîte de Tranxene mais ce petit séjour touristique est bien plaisant, surtout l'absence de démonstration au profit de ces respirations que chacun s'approprie.

[soft]

J'ai tracé un peu le batteur, Philippe Gleizes, ça va plaire même à ellipse:

http://www.myspace.com/philippegleize

[ellipse]

Et comment, c'est magnifique...

...merci Soft

[doume]

Interressant et captivant
J'y trouve même un léger parfum de la planete Kobaia entre les débuts et l'époque Top , la gestuelle du batteur et sa pulsation aussi ...
Quand on regarde son My space c'est peut être pas si idiot

[soft]

Interressant et captivant
J'y trouve même un léger parfum de la planete Kobaia entre les débuts et l'époque Top , la gestuelle du batteur et sa pulsation aussi ...
Quand on regarde son My space c'est peut être pas si idiot

c'est sur, la filiation est là; dans le morceau de Kholkoze Printanium, ce plaisir simple des décalages et de l'ostinato monotone monte en viscéralité (la danse du bassiste) et on pourrait très bien entendre Top, Paga ou Bussonnet, mais le jeu de Gleizes est plus fluide et jazzifiant que celui du Kiki; Vavou avait du me parler de ce mec, et je n'avais pas tilté, c'est vraiment du beau jeu;

Paul Brousseau, après avoir fait partie d'un Octet avec Marc Ducret doit s'être offert le siège de claviériste chez Louis Sclavis, ou officie son pote le génial Matthieu Metzger (Klone, ONJ, Ducret);

[doume]

du beau jeu c'est ça

[NiCobham]

Merci du partage, c'est vraiment super intéressant.
Je pensais tout au long du morceau qu'on allait avoir droit à une partie drum'n'bass à la nhx ou Laurent de Wilde,
ça s'y prêtait vachement bien avec ces grosses nappes de basse.
Le truc magique c'est qu'ils bougent pas, ça prend aux tripes !