C'est $40 au départ, pour une édition collector toutes options. Le reste du prix (qui peut atteindre 120€ par chez nous) on le doit à nos réseaux de distribution.
C’est parfait !
En plus ça se vend comme des petits pains, ou en tout cas, ça se télécharge.
Parfait, parfait ce retour en fanfare du gros rock pompeux, boulardeux et alambiqué. Si tout se passe bien, ça va nous générer du post neo punk de derrière les fagots en réaction.
Je valide.
J'ai pu l'écouter plusieurs fois maintenant. Musicalement c'est du Tool comme on le connait, avec quelques vibes de Maynard qui m'ont fait penser à Puscifer par moments. (Un pote a ressenti la même chose avec APC.) Là-dessus je ne suis pas déçu, ça passe tout à fait très bien.
Par contre la prod globale m'interroge. L'image stéréo est par moments très large, et par d'autres moments assez restreinte, avec des effets de paliers assez marqués. Est-ce que c'est un choix ou est-ce que c'est dû au process apparemment assez "in the box", je ne saurais dire. Sur ce point je le trouve un poil en dessous de 10.000 Days même si ça reste efficace.
Du côté sonique de la drum et de la basse par contre c'est magnifique. Idem pour la guitare et la voix même si elles subissent le côté moins aéré et espacé du haut du spectre. (Les delay de basse aussi)
Majyk Oyster a écrit :Ne rien foutre ça peut faire progresser. Après c'est mieux de l'intercaler entre des périodes de travail qu'entre deux périodes de rien foutre.
C'est normal, le CD est déjà plein comme un œuf. Un code de téléchargement est présent dans le package pour avoir l'album entier en numérique. Et pour les poches vides, la discographie complète est dispo sur Youtube, gratos.
Ils auraient pu mettre un second CD... à l'époque des doubles vinyles, ils n'avaient l'Interwebz pour proposer les chansons "en trop" et ça allait tout aussi bien.
Bon, à part ça, je suis en train de l'écouter, et il est très bien. J'avais une crainte de ré-entendre des choses trop connues par leurs précédents albums, mais c'est vraiment bon. Carey est en grande forme, soit dit en passant (mais c'est pas le seul ).
J'ai trouvé Carey en très très grande forme. Autant Maynard est un peu effacé, il n'y a pas de morceaux qu'il porte à bouts de bras comme ça a déjà été le cas (The Pot par exemple), autant Carey est là tout le temps, toujours sur le coup pour sortir un plan qui botte le cul.