soft a écrit : ↑lun. 1 juin 2020, 06:20
C'est même carrément fin sixties, puisque le premier alboum sort en 1969, avec de jolies chansounettes poétiques remplites à ras bord de flûte traversière médiévantes et de climats mellotronneux tièdes et spaciaux ponctués d'un son de batterie immédiatement repérable. Si tu évoques Mike Giles c'est plutôt un bon point.
Complètement. Le fill de Giles sur
21st century shizoid man est un mythe à lui seul, sans parler de l'album dans son ensemble (cet empafé de Lake était absolument monstrueux aussi).
Quand je parle des septante, c'est qu'en fait, justement, cet album préfigure la décennie à venir avec toute la clique de groupes prog qui a dû écouter KC en boucle pendant un moment, d'ailleurs
Bon, revenons-en à la Signia de Brad Wilk, plutôt !
